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Fréquence interdite

 

Genre

Science-fiction.

Remarques

Sur un sujet qui n'est pas des plus simples, un voyage dans le temps, Gregory Hoblit, nous offre un excellent film. Ce film, a beaucoup de points commun avec la trilogie "Retour vers le futur", mais s'en détache très vite.

L'histoire

Contrairement à "Retour vers le futur", Fréquence interdite est quasiment dépourvu d'humour, celui-même qui a fait le succès de la trilogie. Ici, les protagonistes ne se déplacent pas à travers le temps. Et très rapidement, une intrigue policière s'installe, en parallèle aux changements induits par la communication à 30 ans d'intervalles.
John Sullivan (Jim Caviezel) policier new-yorkais, ayant ressorti le poste de radio amateur de son père Frank (Dennis Quaid), un jour où un phénomène très rare pour la région se produit (une aurore boréale), parvient à entrer en contact avec son père ex-pompier, décédé 30 ans plus tôt, dans un incendie. Il parvient à le prévenir de sa mort prochaine et modifier son passé. En parallèle, John réouvre une enquête, à la suite de la découverte du cadavre d'une de ses victimes, sur une affaire de meurtres d'un tueur en série qui a débuté il y a 30 ans.

Ce qu'en pense Mr. Pat

En allant voir, ce film, je m'attendais à voir un film bien gentil, offrant une vision sur ce que peuvent bien se dire un père et son fils à 30 ans d'intervalles, alors que l'un d'entre eux est décédé depuis. Il n'en n'est rien. Très rapidement, les événements s'enchaînent et toute l'histoire se déroule sur fond de polar. Le film est captivant et le scénario tient la route. Le seul regret que je puisses émettre, est que la fin est un peu bâclée. Afin d'arriver à un "happy end", le réalisateur a dérogé à la règle suivie jusqu'alors, qui veut que seul John modifie le passé, par l'intermédiaire de sa radio, et donc son présent.

Le mot de la fin

Un film à voir.
 
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