|
La cours aux photos d'art a un attrayant portrait du roi.
L'intrus s'întroduisit par la cours du jardin sans un bruit. Nul n'a pu l'avoir lorsqu'il quitta la maison, son butin dans son sac. Il a fuit sans bruit dans la nuit. Son coup fonctionna sans qu'il n'ait à courir ou à fuir. |
Une nuit avec l'agent Flander
|
Lagent spécial du F.B.I. Michael Flander était tranquillement assis dans son fauteuil préféré, au milieu de son salon, quand tout à coup, un bruit de verre brisé le tira de son assoupissement. Il bondit sur ses jambes et se précipita dans la chambre à coucher.
Là, quelle ne fut pas sa surprise et sa stupeur lorsquil découvrit que deux êtres sans visage, aux corps frêles et informes, sétaient introduits dans son appartement au troisième étage, par la fenêtre de sa chambre.
Il neut pas le temps de cerner toute la gravité de la situation que déjà, les deux être de taille moyenne et extrêmement sveltes se précipitaient sur lui. Au même moment, il entendit des cris provenant des appartements voisins. Il neut pas le temps de dégainer son arme, quil portait toujours sur lui, que les deux formes sétaient déjà jetées sur lui et commençaient à le lacérer avec leurs longs doigts crochus terminés par des griffes acérées.
Lagent Flander était dans un état de demi conscience. Il narrivait pas à savoir si cétait un rêve et dans ce cas, sil allait se réveiller sans une égratignures, ou si les deux créatures étaient réellement en train de faire de lui de la charpie. Les deux êtres étaient à peine discernable dans lobscurité régnant dans la chambre. Cest tout juste si on distinguait une forme semblable à un être humain de taille moyenne, mais extrêmement fin. Ils navaient pas de visages. Ce nétaient que deux ombres dans la nuit. Ils semblaient être à la fois gris, et transparent.
Les cris des voisins et les bruits des fenêtres brisées firent revenir à lui lagent Flander. Entre deux coup de griffes, il réussit avec un peu de chance à dégainer finalement son revolver, un colt qui lui avait déjà sauvé la vie à plusieurs reprises au cours de sa carrière sur les affaires non-classées du F.B.I. Il fit feu à trois reprise avant de parvenir à atteindre lune des deux créatures. Cette dernière fut projetée en arrière, hors de la chambre. Mais à peine était-il en train de se relever que la seconde revenait à la charge, avec derrière elle deux autres débarquant du ciel, comme si elles se laissaient glisser le long dune corde invisible.
Les cris du voisinage continuaient et devenaient plus important. A ce moment, Michael aperçut ce qui lui semblait être un vaisseau spatial, doù séchappaient une multitude de ces créatures informes. Elles navaient pas de bouches, deux petites cavités à la place du nez et deux cercle dun gris encore plus pâle que le reste de leur corps en guise dyeux. On avait limpression que toute la terre était en train dêtre recouverte par une nuée des ces choses informes et sans nom. Lagent Flander ouvrit à nouveau le feu sur la seconde créature. Elle esquiva toutes ces balles. Michael qui était pourtant réputé pour son calme habituel, commençait à chanceler et à paniquer. Il ne voyait pas quoi faire contre ces envahisseurs venus dailleurs, dans la motivation était encore inconnue, mais dans le but semblait être claire: lextinction de la population de la petite ville paisible de Mellon.
Au moment où la créature la plus proche de lui allait à nouveau lui assener un coup de griffes, il pivota sur lui-même, attrapa au vol, un cadre accroché au mur de sa chambre et abattit ce dernier sur ce qui semblait être le crâne de la créature. Celle-ci seffondra et les deux suivantes marquèrent un temps darrêt, ce qui permit à lagent spécial dattrapé les cartouches qui traînaient sur la commode à côté de son lit, de battre en retraite dans le salon, en ayant pris soit de fermer la porte de la chambre, de se cacher sous la table ronde, afin de recharger son arme.
Il était en train dintroduire la dernière balle dans le chargeur, lorsquon sonna à la porte. Il se précipita dans le couloir donnant accès à la porte dentrée, et ouvrit celle-ci en brandissant son arme. Face à lui, se tenait sa collègue de travail, lagent spécial Sarah Donaldson. Ils neurent que le temps déchanger un regard que les créatures revenaient à la chargent plus menaçantes que jamais. Les deux agents spéciaux ouvrirent le feu simultanément. Les deux créatures finirent par tomber à terre.
Lagent Flander sapprocha prudemment. Il secoua du pied la créature la plus proche de lui. Cette dernière ne réagissant pas, il se baissa, afin de contrôler, si cétait possible, son pouls. A peine eut-il effleuré la créature que celle-ci se décomposa, en un tas de cendres. Il se tourna vers la seconde qui avait-elle aussi subit le même sort. Il se releva et accompagné par sa collègue, ils se dirigèrent à lextérieur.
A peine eurent-ils franchis le seuil de limmeuble que les premiers rayons de soleil apparaissaient, et du même coups, les vaisseaux spatiaux, ainsi que tous leurs étranges occupants furent subitement réduit en poussière.
A 7h00, il ne restait plus rien des êtres étranges venus troublés la petite ville paisible de Mellon, pendant la nuit. Les restes des créatures décomposées sétaient envolés avec le vent. De cette terrible nuit, seules quelques fenêtres brisées étaient visibles. Et quelques personnes du voisinage se réveillèrent avec détranges égratignures sur le corps.
Au cours de lenquête qui suivit, rien ne put établir que les agents Flander et Donaldson navaient pas rêvé si ce nest leurs propres dires. En effet, aucun voisin, même ceux portant des marques de griffures ne se rappelait de ce qui sétait passé durant cette nuit de 27 au 28 décembre. |
In the swiss parliament, when you have to choose between two Ruth, you just have to throw the Deiss out. |
|