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A l'Aube du 6ème Jour

 

Genre

Film d'action tout public.

Remarques

Comme chaque année, la période des fêtes annonce de l'arrivée sur les écrans du nouveau Disney, et depuis quelques temps, c'est aussi à cette période que nous arrive le dernier Schwarzenegger. En cette fin de millénaire, c'est sur une note pessimiste que Arnold nous propose de terminer l'année. Déjà l'année passée, avec "La fin des temps", ce n'était pas un avenir radieux que nous promettait le géant autrichien. Sans avoir beaucoup plus de texte qu'à son habitude, Arnold nous propose un film sur un sujet d'actualité et qui va être encore longtemps sur toutes les langues: le clonage humain.

L'histoire

Dans une ville des États-Unis, dans un futur proche, Adam Gibson (Arnold Schwarzenegger) vit paisiblement. Il est marié, a un enfant et gagne sa vie en pilotant des avions-hélicoptères pour sa propre compagnie de transport aérien. Le clonage n'est autorisé que sur les animaux, le clonage humain étant interdit, depuis l'échec de la dernière tentative. Tout va bien pour Adam, jusqu'au jour, où un riche industriel fait appel à ses services. Le chien de son fils étant décédé le jour précédent, son collègue prend sa place aux commandes de l'appareil, afin de lui permettre d'aller faire cloner le chien. A peine l'appareil arrivé à destination, un homme surgit de nul part et abat toutes les personnes à bord. le riche industriel parvient à se faire cloner et pour écarter tous soupçons, fait cloner Adam, croyant que c'était lui aux commandes. Quelle n'est pas la surprise d'Adam, en rentrant chez lui que de constaté qu'un double a pris sa place, dans sa maison, au près de sa famille. Il va alors tous mettre en œuvre, afin de récupérer sa place. Mais il devra se méfier de tous le monde, car, afin d'effacer toutes traces de leur erreur, les cloneurs cherchent à l'éliminer.

Ce qu'en pense Mr. Pat

Sans être des plus réaliste, ce film pose néanmoins des questions éthiques essentielles. Les scènes un peu violentes et sanglantes sont complètement aseptisées, il n'y a pour ainsi dire pas de sang et les personnages meurent sans montrer trop d'émotion. C'est sans doute dans le but de toucher une large audience en destinant ce film à un large public.

Le mot de la fin

En bref, A l'aube du 6ème jour, est un Schwarzenegger grand public sur fond d'éthique.
 
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