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| American Psycho |
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Genre |
Psychologie d'un tueur introverti. |
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Remarques |
Après le refus du scénario d'American Psycho par les plus grands noms du cinéma, c'est finalement Mary Harron qui s'y est collée. Et vu la violence qui en ressort, elle s'en est plutôt bien sortie. |
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L'histoire |
Patrick Bateman (Christian Bale), fils d'un richissime homme d'affaire new-yorkais, vit dans un luxueux appartement de l'Upper West Side et travaille dans l'entreprise de son père. Il est cocaïnomane, mais prend grand soin de son corps et de son apparence vestimentaire. Il passe son temps au bureau, à mater des films X en rêvant d'autre chose. tous commence à basculer le jour où un de ses collègues de travail Paul Allen (Jared Leto), lors d'une réunion au cours de la quelle, ils ont tous procéder à l'évaluation de leurs cartes de visites respectives, en a sorti une plus élégante que lui. Bateman se fait alors un devoir d'éliminer celui qui a osé avoir une telle carte, à coups de hache. Il parvient à convaincre le détective privé Donald Kimball (Willem Dafoe) que Paul est parti en voyage à Londres. Dans sa folie, il passe ensuite à une prostituée (Cara Seymour), dans des circonstances atroces le plus naturellement du monde, non sans avoir profité de ses services au préalable, avec une de ses amies. Après avoir assassiner près d'une vingtaine de personnes, pris de remords, il laisse un message avouant tous ses crimes sur le répondeur de son avocat... |
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Ce qu'en pense Mr. Pat |
Avec American Psycho, on atteint les bas fonds de la psychologie humaine: celle que l'on renie, celle qui tient plus de l'instinct animal que de l'homme. On voit la décadence d'un homme qui à force de tout avoir dès son plus jeune âge finit par être blasé de tous et tombe dans la drogue et la violence, au point de perdre pratiquement conscience et ne plus savoir lui-même ce qu'il fait. |
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Le mot de la fin |
Ames sensibles s'abstenir, même si les scènes de violences font plus appel à la suggestion qu'elles ne montrent. Très peu de films sont allés aussi loin, dans leur paroxysme de la violence, même "Oranges Mécaniques" paraît fade face à American Psycho... |
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