Bridget Jones Diary

Coups de gueule

Le journal de Bridget Jones
(Bridget Jones Diary)

Genre	Comédie romantico-cocasse.
Remarques	Après le succès du roman, les producteurs de "Quatre mariages et un enterrement", on vu là, un grand potentiel, pour tenter de réitérer, le succès qu'ils avaient obtenu avec ce dernier film.
L'histoire	Bridget Jones (Renée Zellweger) est attachée de presse dans une maison d'édition. Elle a 32 ans, célibataire, a un faible pour l'alcool et la cigarette, et elle est contrainte de subir pendant la période des fêtes de fin d'année les encouragements de sa mère à trouver un mari. Cette année là, c'est Mark Darcy (Colin Firth) (Le "bon") qui a retenu l'attention de cette dernière. Bridget ne tombe pas du tout sous son charme, avec son pull à tête de cerf au nez rouge et ses manières de la dénigrer en public. décidée à se reprendre en main, elle se met au fitness et entame la rédaction de son journal, dans lequel elle pose les règles de bases, qui sont de ne pas tomber amoureuse d'un homme bourreau du travail, d'un salaud, d'un pervers ou d'un alcoolique notoire. A la suite d'échanges d'e-mails plutôt osés, elle succombe au charme de son patron Daniel Cleaver (Hugh Grant) (Le "méchant").
Ce qu'en pense Mr. Pat	Le scénario du Journal de Bridget Jones est très classique, une vieille fille succombe aux charmes d'un "salaud" et repousse froidement le "gentil". La scène la plus cocasse du film a fait l'objet de la bande annonce et son effet est du coup nettement atténué lorsque la scène fatidique se présente. Il faut néanmoins relevé l'excellente prestation de Renée Zellweger très convaincante, dans le rôle de la pauvre Bridget et qui pour l'occasion n'a pas hésité à se livrer à un régime très consistant, afin de se rapprocher des formes généreuses de l'héroïne.
Le mot de la fin	Un film sans grande originalité, mais remplissant parfaitement son rôle de divertissement.

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