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| Endiablé (Bedazzled) |
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Genre |
Comédie sur le mythe de Faust. |
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Remarques |
Après une série de bandes-annonces explosives, Endiablé, la comédie satanique de Harold Ramis, à qui l'on doit déjà l'excellent "Mafia Blues" et l'inoubliable "Un jour sans fin", arrive enfin sur nos écrans. |
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L'histoire |
Elliott Richards (Brendan Fraser) est un employé sans grande personnalité d'une société informatique. Il est éperdument amoureux d'Alison (Frances O'Connor) qui travaille dans la même boîte, mais qui ignore jusqu'à son existence. Elliott n'est pas méchant, mais un tant soit peu collant et ses collègues préfèrent l'éviter autant que faire se peut. Un soir, il se met à dire tous haut ce qu'il pense. Il ferait tous pour l'amour d'Alison. Ce n'est pas tombé dans l'oreille d'un sourd et le diable (incarné par la superbe Elizabeth Hurley) apparaît en personne devant le pauvre Elliott. Tout d'abord réticent, il finit par céder aux avances du diable qui lui promet de vivre heureux aux côtés d'Alison, à condition de lui donner son âme. Pour ce faire, il aura alors à disposition sept vœux. C'est ainsi qu'il se retrouvera tour à tour, dans la peau d'un trafiquant de drogue colombien, d'un basketteur à l'intelligence très peu développée, d'un homme à la sensibilité extrême, ou d'un écrivain à succès. A chacun de ses vœux, le diable usera de toutes les fourberies possibles et imaginables pour transformer sa vie en cauchemar. |
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Ce qu'en pense Mr. Pat |
Comédie détonnante, usant des charmes d'Elizabeth Hurley, Endiablé fait aussi la critique d'une société entièrement basée sur le paraître et qui ne laisse pas de place à ceux qui ne respectent pas les critères de sélection. Beaucoup de préjugés sont passés au crible, pour finalement retomber dans la béatitude mielleuse américaine qui veut que tout est beau dans le meilleur des monde. |
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Le mot de la fin |
Au final, Endiablé fait sourire, mais reste dans un schéma trop prévisible et a de la peine à vraiment décoller. Le film tire surtout partie de la plastique impeccable d'Elizabeth Hurley. Avis aux amateurs... |
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